Inclu une légere augmentation dans le taux respiratoire et un plus prononcé avec élévation de la tension et des pulsations plus elevé.
La respiration devient dur, et des suée se produisent.
L'engourdissement généralisé des extrémités et de l'incoordination musculaire peut également se produire.
Les effets psychologiques incluent les changements distincts de la conscience du corps, semblable à ceux associés à l'intoxication d'alcool.
L'utilisation de PCP parmi des adolescents peut gêner des hormones liées à la croissance et au développement normaux aussi bien qu'avec l'apprentissage.
Les effets à court terme
Il est difficile de placer le PCP dans une catégorie précise de drogue : dépendamment de la quantité consommée et de la qualité du produit, ses effets seront différents ou semblables aux effets des hallucinogènes, des anesthésiques, des analgésiques ou des stimulants. Tout le monde ne réagit pas de la même manière à cette drogue, même à des doses identiques.
Selon le mode de consommation, les effets du PCP apparaissent en quelques minutes ou en une heure. En général, cet effet dure entre 4 à 8 heures, voire jusqu'à 12 ou 18 heures.
À faible dose, on observe les symptômes suivants: raideur musculaire et incoordination, engourdissement général des extrémités, difficulté d'élocution, somnolence et confusion. On peut également constater une transpiration excessive, des rougeurs et une accélération du rythme cardiaque.
De fortes doses peuvent produire une anesthésie. On observe une déformation de la perception et une sensation d'apathie, de détachement ou d'isolement. Un comportement anormal et violent est possible.
Les effets à long terme
Le consommateur peut avoir des : flash-back, des problèmes persistants d'élocution, dépression, anxiété ou effets psychologiques plus graves.
Accoutumance et dépendance
Peu de recherches ont été menées pour déterminer si l'usage du PCP conduit à l'accoutumance et à la dépendance. Puisque les usagers chroniques du PCP semblent avoir besoin d'augmenter leur dose pour préserver l'état d'euphorie, les recherches font ressortir la probabilité d'une accoutumance.
La dépendance psychologique se manifeste quotidiennement par un besoin irrésistible de la drogue chez certains usagers.
Étant donné l'absence de symptômes de sevrage après la privation de la drogue, on croit que le PCP ne crée pas, même après un usage prolongé, de dépendance physique.
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